Tu sais que j'aime les mots de Claudie Gallay. Tu sais qu'elle est mon exception.
Sache qu'est arrivé le jour où elle ne m'a pas émue.
J'ai aimé les rues d'Avignon, mais le reste non.
Trop pour moi. Trop facile, trop guimauve, trop.
Ah, j'ai aimé plus que tout l'idée de la présence d'Agnès (Varda).
Très près de ce que je sais d'elle.
Le reste, je ne m'en souviens déjà plus.
L'amour est une île, Claudie Gallay, éditions J'ai Lu
J'ai "Les déferlantes" sur l'étagère des livres à lire depuis...
RépondreSupprimerJ'avais beaucoup aimé "Les trois vies de Babe Ozouf" de Didier Decoin (reçu en cadeau), ce bouquin possédait un souffle particulier et la description des paysages de La Hague et du Cotentin m'avait transportée.
Pour "Les déferlantes", j'avais envie de pénétrer à nouveau cette côte si particulière mais je n'ai jamais levé la main vers elle.
Tu conseilles ?
Clique sur Gallay, et tu liras ma drôle d'aventure avec -les Déferlantes-.
SupprimerJ'ai beaucoup beaucoup aimé -Dans l'or du temps-, aussi.
J'ai cliqué.
SupprimerCe sera donc mon premier Gallay.
(il m'est arrivé aussi de lire, d'oublier puis de redécouvrir comme une éblouissante première fois).
Merci.
Incapable de te dire de quoi ça parle, tellement ça m'a marquée! Mais je l'ai lu, j'en suis sûre - c'était même le dernier que je lirai de cette écrivain que j'avais découvert avec un grand bonheur. Trop d'éditions tue le talent, dirait-on!
RépondreSupprimerJe suis terriblement déçue d'être déçue par cette femme, mais tu as raison, à trop écrire pour son éditeur on en perd son écriture.
SupprimerJe n'ai encore rien lu d'elle. Je pressens une déception de toutes façons. j'attendrai le bon moment...
RépondreSupprimerJ'aime cette auteure.
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