Craquage.
Je le sentais que ce numéro 3 devait être de trop.
Mais j'ai craqué. Le titre, la photo en couverture, et le souvenir encore fou-riant et bienheureux de la lecture des deux précédents opus.
Les deux précédents m'ont sauvée de ce printemps et cet été si noirs, les deux précédents m'ont (presque) réconciliée avec les koalas, limite j'en aurai adopté un. Les deux précédents m'ont sans doute faite passer pour une cinglée à me trémousser de rire dans les salles d'attentes et autres tristes endroits dans lesquels j'ai passé du temps à cette période-là.
Image trouvée sur le net, merci à son auteur |
Les deux précédents m'ont amenée à me méfier des kangourous et des wombats. Je te l'accorde, le risque est infime, encore qu'un parc de Roscoff héberge quelques spécimens de walibis féroces, et sans doute alcooliques, si l'on en croit l'ami Kenneth... Pour preuve ce cliché de deux compères après leur tournée de quelques comptoirs roscovites.
Tu l'auras compris, j'ai moins ri cette fois-ci. Trop répétitif peut-être.
Je ne peux malgré tout que te conseiller vivement de jeter un oeil ou les deux sur ces drôles de petits livres (surtout les deux premiers, bien entendu).
L'ivresse du kangourou, Kenneth Cook, éditions J'ai Lu, traduction Mireille Vignol
Tu me mets la puce à l'oreille... et je vais y aller voir de plus près! Merci!
RépondreSupprimerBonsoir, moins drôle que les deux précédents recueils, c'est vrai mais pas mal quand même. Sinon, je recommande aussi les romans de Kenneth Cook dont Cinq matins de trop. Bonne soirée.
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