J'avais été particulièrement émue par L'envoûtement de Lily Dahl, lorsque j'y songe j'entends la douce voix de Barbara qui avait accompagné ma lecture.
Sans craintes j'ai donc choisi Un été sans les hommes.
Et rien.
Sauf Abigaïl et ses broderies à double-sens.
J'ai beaucoup aimé ce personnage qui impose discrètement et subtilement son espièglerie au monde.
Et rien.
Sauf Abigaïl et ses broderies à double-sens.
J'ai beaucoup aimé ce personnage qui impose discrètement et subtilement son espièglerie au monde.
Un été sans les hommes, Siri Hustvedt, éditions Actes Sud, traduction Christine Le Boeuf
C'est vrai ça... J'avais aussi bien aimé l'envoutement de Lily Dahl. Du moins, j'en garde un bon souvenir. Je n'ai pas encore replongé dans l'univers de Siri (contrairement à son mari où je reste un inconditionnel)... Va falloir, va falloir !
RépondreSupprimerBen lui, moi je n'accroche pas non plus...Ceci dit ma dernière tentative date de pfiou, 10 ans, plus peut-être? Faudrait que je relise pour voir.
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