Sous la glace, Louise Penny, éditions Actes Sud, traduction Michel Saint-Germain
Pages
Matière à réflexion
BOULIMIQUE
Barnabé aime
C'est aussi mon taf
C'est pour ces mots-là que j'aime tant lire
Ces personnages qu'on aimerait rencontrer en vrai
Charlie
Chronique du CDI
Combien d'arbres...COMBIEN??
D comme déception
DADA
Indémodable
J'adôôre ça
Népal
POESIE
Tu peux pas lâcher
aimer faire lire faire aimer lire
anthologie
belle découverte
ben non finalement
bof bof
bricol'art
calme plat
challenge ABC
challenge Boris Vian
challenge découverte
chamboule-tout
culture-info
dessin
décapant
défi lecture
délicieusement barré
effroyable cocasserie
en accord avec moi-même
en pleine poire
expo
hermétique
humpf
jeunesse
journal
la folie pas douce
la liseuse
la main heureuse
la mer
lapbook
le p'tit truc qui manque
le travail c'est pas toujours la santé
lecture commune biblio
lire avec les oreilles
lire dans l'allégresse et dans les transports
livre-trace
livres de cuisine
manga
murf
partenariat
passée à côté
petites jardineries entre amis
petites philosophies du voyage
pfff...
philo
photographies
pour mémoire
pouvoir commencer par la fin
quel cirque
recueil
relecture
rose et légère légèreté
rêver de savoir s'arrêter à temps...
s'entretenir
total western
touchée
tout en douceur
transsibérien
tu connais tes classiques ?
tu lis des livres qui ont d'ces titres..!
un délice
un regard sur le monde
vrai beau livre
wouahou comment dire...indescriptible
ça fait flipper grave
ça pétille
ça sent la neige
épistolire
mardi 22 janvier 2013
L'équation de Zoran
J'ai (encore) eu l'envie irrémédiable de (re)lire un Barjavel.
J'ai effleuré les tranches des livres sagement adossés les uns aux autres et je me suis arrêtée sur La nuit des temps. Si tu voyais à quoi ressemble désormais mon livre tu comprendrais aisément pourquoi je suis bien incapable de savoir à la combientième lecture j'en suis, sans compter les prêts dont il a pu faire l'objet...
Vu son état, il ne voyagera plus, mais le relire à la maison en rattrapant les pages filantes, c'était possible.
Combien de lectures et relectures, indéfinissable donc, mais ce dont je suis à peu près certaine, c'est que la dernière fois remonte à une dizaine d'années au moins. Je me suis alors réengagée dans une lecture comme on plonge la main dans un bocal de douceurs...je savais ce que j'y trouverais, je cherchais juste le bonheur de ressentir de belles émotions.
J'avais le souvenir d'un univers très métallique, nuancé de gris plus ou moins brillants, plus ou moins doux. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir Gondwana tout en fluidité et en couleur, débordant d'une nature luxuriante...
J'ai vieilli et mon imagination a évolué, me suis-je dit... jusqu'à ce que je remarque la peau bleue d'Elea.
Ne m'en tenez pas rigueur, Monsieur Barjavel, mais James Cameron étant passé par-là, j'ai transposé le paysage de Pandora à votre nuit des temps.
*Un peu énervant quand même cette histoire d'imagination qui plutôt qu'évoluer trouve plus facile d'aller piocher dans des souvenirs...
La nuit des temps, René Barjavel, éditions Pocket
samedi 19 janvier 2013
L'intime du corps au fil d'un journal qui ne l'est pas
J'aime depuis longtemps Daniel Pennac. Toi qui pose un
Oeil ici de façon régulière tu le sais.
Une fois encore sa belle écriture a eu
Raison de moi. Et pourtant je méfiais de ce livre-là.
Nunuche même, j'avais osé penser.
A dire vrai
Les premières pages ne m'ont pas envoûtée comme je m'y attendais,
D'ordinaire il me prend au corps immédiatement, mais
Une fois n'est pas coutume,
Ni branle-bas de
Combat émotionnel, ni envie irrémédiable d'
Offrir des roses trémières à ce Daniel qui m'émeut tant.
Résolument convaincue que le charme opérerait, j'ai
Poursuivi ma lecture, et j'ai encore pleuré, ri et pleuré de rire.
Sans conteste, je vous aime monsieur Pennac.
Journal d'un corps, Daniel Pennac, éditions Gallimard
mardi 15 janvier 2013
La mer à boire
J'ai découvert et lu Le poney rouge et je n'ai cessé de penser à tous les jeunes ados, à qui il est destiné et qui s'entendent dire que quand même c'est pas la mer à boire, un livre qui raconte l'histoire d'un petit garçon et de son poney.
C'est pas la mer à boire, un livre qui dans cette édition peut se lire à l'endroit et à l'envers, un accès ludique sur l'envers.
C'est pas la mer à boire...
C'est pas la mer à boire...mais une bonne tasse quand même.
Même Barnabé en est encore tout ébaubi.
Le poney rouge, John Steinbeck, éditions Gallimard Jeunesse, traduction Marcel Duhamel et Max Morise
mardi 8 janvier 2013
Chaque livre a son histoire
Je l'attendais impatiemment, mon livre sur les cailloux.
Il a mis de nombreuses semaines avant de trouver ma boîte à lettres.
Comme d'habitude en matière de partenariat, je ne m'étais pas documentée. Ni sur le livre ni sur l'auteur.
Sombre erreur.
J'attendais de belles histoires de cailloux ramassés et oubliés au fond de la poche, ou déposés en un lieu choisi.
J'ai reçu l'autobiographie de Maurice Rajsfus, co-fondateur de Ras-le-Front. Son nom ne me disait rien et pourtant bien évidemment je n'ignorais pas son existence. Je me souviens parfaitement des grands mouvements auxquels participait Ras-le-Front, je me souviens de la rue du Dragon et du reste.
Je n'ai pas été emballée par ce texte non dénué d'intérêt, mais à l'écriture peu amène et truffée de fautes.
Ne serait-ce que pour ces quelques pages-là, je remercie Babelio et les éditions Ginkgo de m'avoir proposé cet ouvrage.
Chaque pierre a son histoire, Maurice Rajsfus, éditions Ginkgo
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