Il arrive que l'été te mange toute entière. Il arrive que tu te nourrisses du dehors au point d'en oublier le dedans. Il arrive que le soleil prenne la place de la lecture. Il arrive que l'été ne s'arrête pas d'être. Il arrive que tu constates que tu as lu, moins, mais que désormais il va falloir écrire.
Alors tu attends que le mauvais temps te guide jusqu'à ton bureau.
Vivement qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige. Ras-le-bol du soleil !
RépondreSupprimerIl arrive aussi que l'été passe et que l'on se retrouve un peu perdu(e) devant la perspective des jours moins lumineux...
RépondreSupprimerBises, Stéphanie.