mardi 17 janvier 2012

Encore Une

Si tu le lis, tu sauras presque tout, de Vera Candida. 
Ou presque rien, selon ta façon de voir les choses. 
Tu verras la vie de l'Amérique du Sud des années passées, tu verras que les destins de famille ne sont pas forcément une fatalité, pas dans toutes leurs lignes en tous les cas.

Au début de ce blog je te disais ma préférence pour les auteurs masculins, je me rends compte que je féminise de plus en plus ma bibliothèque. 
Ouf.

C'est comme les chats. Pendant longtemps j'ai cru que je ne les aimais pas.

Ce que je sais de Vera Candida, Véronique Ovaldé, éditions de  l'Olivier

7 commentaires:

  1. Je craque complètement pour cette photo (j'ai toujours aimé les chats qui me le rendent bien en général) Encore une fois, tes mots me donnent envie de me tourner vers des livres que je dédaigne au premier abord.

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  2. Merci, c'est Rosalie, ma belle minette.

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  3. C'est rigolo je ne fais jamais attention au sexe des auteurs que je lis. Je veux dire, bien sur que je sais si ce sont des hommes ou des femmes, mais je ne le retiens pas comme critère, je ne retiens que le lien qui nous unit.

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    1. C'est pas que je fasse "attention" au sexe des auteurs, c'est que pendant longtemps j'ai plutôt accroché à des auteurs masculins, je trouvais les filles un peu mièvres (avec des exceptions évidemment). Mais cestemps-ci ça change, soit elles écrivent mieux, soit je vieillis. Ou les deux.

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  4. Oui, tes critiques nous donnent envie de lire les livres que tu aimes ! Ma bibliothèque est très, très féminine, voire féministe, aussi, vais-je retenir ce livre dans les à lire ! Caresses à Rosalie!

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  5. Rosalie n'est pas très câline, mais je vais faire une tentative!!

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