mercredi 15 février 2012

Joindre l'inutile au moyennement agréable

Je savais d'avance que ça se terminerait mal entre Katarina Mazetti et moi, mais j'ai cédé à la facilité, à la curiosité, au souvenir souriant du Mec de la tombe d'à côté, et j'ai emprunté la suite à la bibliothèque.
Je me doutais bien qu'elle n'était pas nécessaire, je craignais la lassitude, le manque de rebondissement et d'originalité, et je n'ai pas été déçue: c'est tout à fait ça. Totalement inutile, et malheureusement, cette lecture a même gâché un peu le souvenir plutôt positif que j'avais du premier opus.
Tant pis pour moi, ça m'apprendra. 
La prochaine fois j'aurai qu'à passer mon temps à mater les coccinelles, ce sera toujours ça de gagné.


Le caveau de famille, Katarina Mazetti, éditions Gaïa, traduction Lena Grumbach

9 commentaires:

  1. Je viens de le terminer, effectivement une suite n'était pas vraiment nécessaire, la façon dont l'auteur exploite le choc des cultures est assez grotesque. Du coup toute l'histoire devient peu crédible, donc mieux vaut s'en tenir au premier opus tout à fait d'accord avec toi ;)

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  2. Je n'avais pas follement accroché avec le premier et je pense en effet que la suite n'était vraiment pas nécessaire

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  3. Je n'ai pas beaucoup aimé le premier opus déjà alors vu ton article je pense que je vais m'abstenir de lire la suite. Merci de m'avoir épargné ça en tout cas :-)

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  4. Tiens mais alors il faudrait que je relise le premier ("!!non mais ça va pas ou quoi!!"), il me semblait qu'il était plutôt sympa pourtant. Je n'écrivais rien sur ce que je lisais à cette époque-là, alors peut-être que ma mémoire vieillissante me joue des tours...

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  5. Bon quand est-ce que tu vas te décider à laisser tomber un livre qui ne te plait pas, sans aller jusqu'au bout ? tsss tsss tsss
    ;-))

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  6. Bonjour...

    J'avais été attirée par le premier (d'abord par son titre, il faut le dire) mais aussi parce que le livre était rose, la couverture et les pages.

    J'avais bien aimé. C'est un bouquin que j'ai dégusté comme on lèche une chupa chups, en plein état de régression.

    Puis quelques mois après, on se demande quel goût elle avait déjà, la chupa.

    J'éviterai donc le second...

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  7. Le rose des pages j'avais beaucoup aimé et mes yeux un peu pourris avaient éprouvé une certaine facilité de lecture...
    J'ai fait une balade sur ton blog, on est un peu voisine me semble-t-il.

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  8. Ah oui le rose Gaïa je l'aime
    j'y ai lu Le livre de Dina, un régal
    et de John riel, La faille..qui m'a amené vers les contes inuit de cet auteur, délices

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