J'avais beaucoup aimé Les Déferlantes et son ambiance bord de mer en hiver.
J'ai sans hésitation inséré Seule Venise dans mon challenge ABC. C'est pareil mais c'est différent. La mer, l'eau, très présente encore, des solitaires et des solitudes qui se rencontrent. Mais il fait beaucoup plus sombre à Venise qu'à La Hague, on y respire moins, l'oppression est plus forte.
C'est encore une femme que Claudie Gallay emmène se perdre et se retrouver dans Venise. Ce sont encore des hommes à chats qu'elle y croise.
Je l'ai dit, c'est pareil mais c'est différent.
Seule Venise, Claudie Gallay, éditions du Rouergue
J'ai! et j'ai trouvé un peu triste. Mais pareil, la mer, oui.
RépondreSupprimerje n'ai lu aucun des deux
RépondreSupprimerpas contre je ne sais plus si je t'ai dit que j'avais emprunté Sukwan island ? Je ne suis pas allée jusqu'au bout. Pourtant cela se lit tout seul avec cette dose de morbide curiosité qui me fait aimer les séries CSI et autres horreurs pleines de crimes. Mais là, en bouquin, aller direct gros comme une maison vers le massacre humain, d'un enfant, triste et glauque. j'ai eu honte de moi de dévorer le sordide, j'ai laissé tomber
dingue que tous les journalistes lui fassent un pont d'or à cet écrivain. Il est beau peut être et a un bel attaché de comm.
*Tifenn, je me souviens que tu m'avais dit l'avoir lu, j'en essayerai d'autres encore.
RépondreSupprimer*Euh, c'est toi, Tortue aux plumes d'hirondelle?
J'ai détesté Suskwan Island (http://ausautdulivre.blogspot.com/2011/04/soit-jai-un-truc-qui-cloche.html)
Oui excuses moi j'ai mal cliqué tout à l'heure
RépondreSupprimeroui je sais j'avais lu, c'est pourquoi je voulais te dire...
;)