Un soir au club se savoure tel quel.
Une bonne gorgée de jazz, un peu de swing, un bol d'amour, une pincée de désespoir.
Une écriture de miel.
Il suffit de quelques heures pour l'absorber et le laisser fondre délicatement sur la langue.
Un soir au club, Christian Gailly, éditions de Minuit
Magnifique "critique", je ne l'ai pas encore écrit ici mais tu as le don pour parler des livres et en peu de mots en plus. Un expresso italien, TU.
RépondreSupprimerEuh, tu lis combien d'heures par jour? je suis impressionnée (moi qui lisait, lisait, lisait avant, et qui s'endort dessus maintenant...)
RépondreSupprimer*Laure, tu me fais rougir... (tu as lu l'extrait de "Parle-leur de batailles...", il m'a beaucoup fait penser à toi
RépondreSupprimer*Tifenn, sans enfants ni télé, j'ai forcément beaucoup de temps pour bouquiner, et je crois te l'avoir déjà dit, j'ai des livres commencés partout, alors par moment, j'en termine plusieurs presque en même temps.
(Et puis je lis aussi au travail, mais ça c'est un secret)