Je ne suis pas déçue, ce n'est pas ça.
J'en attendais trop.
Il est juste beau et simple.
Des mots choisis, des sentiments, des questions, des espérances, des déceptions. Des roses, des collants, des robes, de la sauce au vin rouge.
Juste la vie, si simple et si grandiose.
J'ai pensé à Cinéma Paradiso au fil des pages. A Mastroianni aussi.
J'ai pensé à l'Italie. J'ai vu l'Islande. Je me suis vue dans mon jardin, et j'ai revu ma mère.
Étrangement je n'y ai pas associé de partition musicale. La musique de la vie lui suffit. Le silence de l'abbaye et de la roseraie y sont peut-être pour quelque chose.
Cet été est décidément ponctué de lectures troublantes. Celle-ci sera un de mes plus jolis souvenirs, mais je ne change pas d'avis à propos des roses.
Rosa Candida, Audur Ava Olafsdottir, éditions Zulma, traduction Catherine Eyjolfsson
La première fois que j'en avais lu le résumé, le début m'avait fait fuir ! Puis j'en ai entendu tellement de bien qu'il est un de mes tout prochains livres à lire. Il a intérêt à être à la hauteur de sa réputation :p
RépondreSupprimerle titre me dit quelque chose, mais je n'en ai pas souvenir et donc aucune attente
RépondreSupprimertrès bien, à suivre...
Très jolie critique pour un si beau livre!
RépondreSupprimerEt j'aime beaucoup ton blog!
Marion
Moi aussi je suis un peu restée sur ma faim (j'avais écrit main). Comme si j'aurais préféré ne pas le finir.
RépondreSupprimerMême si les si n'aiment pas les "ré" ...
RépondreSupprimerJe pensais que tu avais fait exprès pour le "ré"!
RépondreSupprimerComme moi pour le livre sans nom.