Ces quelques minutes ou ces quelques heures que l'on garde tous, précieusement dans notre boîte à secrets. Ces instants qui nous liquéfient et font battre notre coeur à tout rompre dès qu'on y songe, ou qu'un mot, une image ou un son, nous les rappelle. Une odeur, une chanson, un bruit, une lumière, un froissement: tout est gravé. Tout est resté intact. Le coeur a la mémoire dure, infaillible.
C'est tout ça, ce texte.
C'est tout ça, ce texte.
Vingt-quatre heures de la vie d'une femme, Stefan Zweig, éditions Livre de poche, traduction Olivier Bournac et Alzir Hella
Je l'ai lu il y a très longtemps et je l'ai adoré.
RépondreSupprimerL'un de mes romans préférés !
Je n'ai encore jamais lu Stefan Zweig mais j'y songe de plus en plus et ces mots là ne peuvent que m'encourager !
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