mardi 8 novembre 2011

ça casse pas trois pattes à un canard

...y a des expressions qui viennent on ne sait d'où. Des livres aussi.

Dans la liste de mon défi ABC, j'avais glissé un polard qui me semblait attirant. 
Un écrivain qui est aussi scénariste, et "un roman noir surprenant, d'une effroyable cocasserie" disait la quatrième de couv.
Une effroyable cocasserie, au premier abord, j'avais du mal à visualiser. 
Après la lecture, je comprends bien: une effroyable cocasserie est une façon masquée de dire qu'on est ahuri (cf l'effroi) devant autant de niaiserie ( cf cocasse).
L'idée, ce sont les méchants (riches, hauts-placés, et pédophiles) contre les gentils (moins riches, enfances malheureuses, pas pédophiles).
On  devine assez vite qu'à la fin ce sont les gentils qui gagneront. 
Et ils gagnent.

Le cul des anges, Benjamin Legrand, éditions du Seuil


3 commentaires:

  1. Une descente en flèche ... les anges peuvent faire attention à leur cul !

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  2. Comment fais tu pour aller au bout de niaiseraies pareilles ! belle persévérance que je ne sais avoir. C'est bien L'espoir ferait-il vivre même les lectures ? Hi hi

    chagrin ici , sans pitié, un amour de chat en péril, et je me meurs un peu avec lui

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